Le Café Littéraire Plaisançois
 
 
 
WANG - T1.....Les portes d'Occident
Pierre BORDAGE
J'ai lu 1996

Prix Tour Eiffel 1997
 
 
 
 

XXIIIe siècle. Un infranchissable rideau protège l'Occident des empires voisins. Wang, jeune chinois de dix-sept ans, vit avec sa grand-mère dans un quartier misérable de Grand-Wroclaw en Silésie, une des sous-provinces de Sino-Russie administrées par les néo-triades.

Parce qu'il a transgressé la loi d'Assöl le Mongol, un parrain de clan, Wang n'a d'autre choix que de prendre le chemin de l'exil. Car une porte s'ouvre parfois dans le rideau à Most, en Bohême. Mais qu'arrive-t-il aux émigrés en Occident ? On parle d'esclavage ou pire encore; on dit aussi qu'ils sont contraints de s'affronter dans des arènes comme les gladiateurs des jeux du cirque. Nul n'en est revenu pour témoigner...

 
 
 
(Quatrième de couverture)
 
 
  Critiques

  • Bordage, en effet, est un auteur passionnant, un de ceux qui savent raconter des aventures haletantes avec une ampleur et une tension omniprésente.
    Jean-Claude Dunyach, KWS

  • Le formidable talent de conteur de Pierre Bordage nous plonge dans ce tiers-monde glauque et malfaisant et nous nous retrouvons, bousculés, aux côtés de Wang, aussi anxieux que lui de savoir ce que cache la gigantesque muraille de lumière qui masque la moitié du monde. [...] Pierre Bordage, par la magie de son écriture, saura vous transporter, à travers l'espace et le temps, à la rencontre de la pure joir de lire.
    T. H., Dauphiné libéré, décembre 1996

  • Pierre Bordage a définitivement fait son entrée dans la cour des grands. L'intrigue est ici parfaitement maîtrisée, les personnages fort bien dessinés, les arrières-plans d'une densité certaine, la critique sociale pointée avec la virulence que l'époque mérite... Avec Les portes d'Occident, la science-fiction française confirme une fois encore la force de son renouveau.
    Jacques Baudou, Le Monde, mai 1997.

  • Raconteur d'histoire diablement efficace, riche d'un style puissamment évocateur, il [Bordage] nous embarque sur le flot tumultueux de sa plume fluide et jouissive, nous trimbale de-ci de-là, dans telle lutte meurtrière ou telle considération ésotérique.
    Org, Bifrost 5, mai 1997.

  • Un réel sens narratif, une conscience aiguë des ressorts de l'épique, qualités auxquelles s'ajoutent vraisemblblement un intérêt non feint pour la société, le monde dans lequel il vit, d'où l'intérêt prospectif de ses récits. [...] Wang est une saga, une belle, une grande aventure pleine de rebondissements. [...] C'est aussi un avertissement, un message emprunt d'une profonde humanité, d'une sensiblité certaine.
    Org, Bifrost 6, octobre 1997.

  • Bordage a le sens du romanesque et de l'épique. Son roman et les thèmes qu'il y exploite ne sont pas seulement étonnamment maîtrisés, mais servis par une écriture soignée, un style d'une étonnante qualité.
    Claude Ecken, Galaxies 7, hiver 1997-1998.

  • Les aigles d'Orient [...] est un roman passionnant, palpitant, et comme on pouvait s'y attendre, surprenant, bouleversant, étonnant, d'une grande sensibilité. Il expose avec une grande précision une vision du monde et du chaos que nous mettons d'ores et déjà en place.
    Olivier Bidchiren, Phenix 44, 1998.



 
 
  la suite :.... WANG - T2...Les aigles d'Orient